Paroles d’entrepreneurs

Une newsroom offre un espace d’expression aux décideurs et chefs d’entreprise, pour partager leur vision et leurs points de vue sur l’économie, la société, l’environnement et l’éthique. Découvrez ici les plus récents éditos de nos clients

Audrey Daumain et Thierry Ungaro : « Regards intimes sur le changement »

Dire que nos expériences et nos apprentissages personnels structurent notre vision du monde est une évidence. Or, ils ne semblent jamais mieux se révéler que lorsqu’ils sont mis en perspective avec d’autres vécus, d’autres témoignages.

Michel Strazza : « Bâtir, c’est prévoir »

Après avoir tourné à plein régime ces dernières années, le secteur économique de la construction pourrait amorcer un retournement de tendance en raison du renchérissement des matières premières, de l’importante pénurie de main-d’œuvre qualifiée et de la hausse des taux d’intérêt.
Bien que le secteur a su relativement bien surmonter ces changements ainsi que les nouveaux défis liés à la pandémie COVID, nous devons faire preuve d’une grande capacité d’adaptation et de réorganisation.

Jean-Yves Mercier : « What’s the point of knowledge? »

What does knowledge give us and to what extent can it embody an ideal in our lives? The historian Luc Bély subtly suggests that knowledge adds depth to reality, while the philosopher Michel Serres argues that “knowledge makes you happy, knowledge makes you free“. The economist Thierry de Montbrial sees it as a remedy to counteract the two evils of the era of globalization, namely, standardization, which crushes culture, and fragmentation, which generates incomprehension.

Stéphane Perrin : « Un avenir, cela se façonne, un avenir cela se veut. »

orsqu’au deuxième semestre 2022, notre noyau stratégique engagea une réflexion sur la proposition de valeur KHEOPS, la création d’Àvenir Entreprise Générale SA devint une évidence : la direction de travaux dans la rénovation/transformation serait réservée à KHEOPS, sous la direction de Michel Strazza, l’entreprise générale et les programmes neufs reviendraient à Àvenir, sous ma responsabilité.

Matthias Achermann : « C’est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit. »

Toute proportion gardée, je ne peux m’empêcher de citer Lacordaire pour introduire le sujet de ce premier édito de l’année. L’apophtegme du grand prédicateur nous rappelle que sans la loi formellement édictée par le législateur, seule vaincrait celle du plus fort, alternative peu enviable au regard de l’histoire.

Paul Ségur : « Confiance et cohésion, ligne de vie dans un monde chaotique »

La mondialisation a fini d’achever le sentiment d’impunité des peuples face aux événements agitant une planète devenue village. Ce qui se produit à Taïwan, Kaboul, Kiev, Wuhan, intervient dans notre quotidien avec toujours plus d’immédiateté.

Éric Lumbreras : « Une centrale à béton ne fait pas le printemps »

Cela n’aura échappé à personne, la Suisse manque cruellement de main-d’œuvre. Nous ne sommes pas les seuls à souffrir de ce phénomène : actuellement, en Allemagne, on ne compte pas moins de 2 millions de postes à pourvoir, pour 1 million en France.

Pedro Basilio : « Semi-conducteurs : la pénurie qui fait réfléchir »

L’industrie du service et les technologies relationnelles ont transformé nos existences sans qu’en réalité, nous n’ayons en rien participé à cette transformation ; nul d’entre nous n’a choisi d’utiliser la carte à puce, le téléphone portable, les outils d’interaction numérique : ils ont d’abord colonisé notre quotidien en facilitateurs, pour être finalement imposés en modèles consuméristes par les acteurs dominants de la société, administration publique, monde économique et financier.

Thierry Ungaro : « Les entreprises portent aussi les espoirs du monde »

Depuis une trentaine d’années, une succession de crises, hypothécaires, de la dette, sanitaire, territoriale, de l’environnement font bouger les lignes du monde du travail. Entre les ondes de choc de l’économie, les avancées de la technologie informatique et les aspirations sociétales des jeunes générations de travailleurs, il n’y a pas de doute à avoir sur la nécessité d’intégrer dans l’entreprise une « pensée du changement », motivée par l’adéquation vitale aux évolutions du marché des consommateurs, mais aussi du recrutement.

Olivier Cots : « L’économie, de l’énergie transformée »

Les certitudes résultant de la bonne organisation de notre pays s’estompent avec le constat de sa vulnérabilité énergétique.
Après la crise sanitaire, c’est le conflit russo-ukrainien qui vient interférer dans notre équilibre économique. La Confédération nous alarme sur une possible pénurie d’électricité, alors que le pays en produit davantage qu’elle n’en consomme. Nous importons néanmoins pour compenser les fluctuations saisonnières dans la production et la consommation, mais aussi en raison des difficultés de stockage de ce type d’énergie.